sábado, 14 de agosto de 2010

Camiscucio

Il s’est levé dans le matin, ce peintre en déclin, son apparence nous a dit que les années passent vite dans sa vie, trente-neuf ans sur leurs paupières ont détruit son regard tendre et plein d'espoir. Le regard d'un homme avec ses rêves dans la paume de la main. Or, cet homme, après avoir complètement ignoré sa jeunesse, ne sourit pas au réveil. Il était le dernier membre d'une famille d'artistes dans toutes les teintes et les formes d'art, des artistes dont le travail ne pouvait être comparé qu’avec la vertu de ses créateurs. Loin du monde, notre peintre a passé de longues nuits d'observation aux environs de la forêt, en oubliant dont il a été. La recherche d'un trésor familial dont l'existence douteuse accéléré le processus brisé sa santé mentale. Ses tableaux, parfois perçues par le fantôme de son mentor, son mentor ectoplasmique, son père ; suscitent un grand intérêt dans les lucioles qui dorment maintenant dans son bureau. Autre journée qui s'est passé dans la vie solitaire du peintre, un matin plus qu’il est perçue en passant par les yeux ...
… C'est la nuit, une nuit sanglante, sans lune, sans quelqu'un pour être n'importe qui, seulement des vedettes, des milliers. Les lucioles, ce soir dominent une peinture cachée, regardent toujours et se demandent :
- Comment est la vie solitaire de notre artiste médiocre, maintenant?
En écoutant cela notre peintre les en prie silence, et réplique :
- Si j’ai seulement ces lucioles, mon solitude sera éternelle. Ne gardent pas l'héritage de ma famille, permettez-moi de le sentir, je trouve que je suis meilleur que mes ancêtres.
Je veux savoir si je suis le meilleur, mieux que lui. Ses compagnons se mirent à briller comme un signe de mépris et obligent le peintre à laisser son bureau.
Dehors, un faux sourire de l'ironie illumine le visage de notre peintre – Qui je suis? Serais meilleur que toi, père? Ces paroles ont été le seul bruit émis dans la forêt. Un nouveau sourire apparaît, cette fois dans le visage d'un vieillard, sa silhouette se détache dans le brouillard, comme des lucioles dans le noir.
- Tant d'années de peintures à l'huile, l'aquarelle vous avez causé des hallucinations, maintenant mon quartier, je suis l'un d'entre eux - Sa voix couvre soudain les oreilles de notre peintre et débarrassa l'air de légèreté. Tout flotte dans la forêt et dans son esprit, tout sauf le puant être réminiscent.
Dans un état indéfini l'ectoplasmique étant remue son sein avec un rire maniaque, réduites au silence par la haine, respirent profondément et retournent à rire.
- Pour quoi maudire ton arrogance, si vous conscience n'est pas la cause de votre misère? - Le rire s'arrête et commence à pleurer - Pourquoi voulez-vous ma gloire? Où va votre vertu, votre dignité, votre amour? - Et comme une pluie de plomb, l'air retrouve son poids et tout tombe brusquement. Le galéré de ses illusions ne pouvait pas flotter plus sur cette réalité variante. Notre peintre meurt en laissant caché son talent.

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