Cada rastro de luz desaparece al mismo tiempo que llueve, nunca, Pequeño Erizo, presenciaste tal tormenta, hasta este momento.
El frio se apodera de la habitación, mi letargo cesa sin el menor aviso, el olor en el aire delata presencia alguna de tu existencia.
Tu olor, como una flor fragante plantada en mi jardín de eterna oscuridad, es suficientemente suave para ser detectado en la penumbra, y demasiado dulce, lo que lo hace imposible de ignorar. Ahora te recuerdo mí querida acompañante, solo tú eres capaz de hacer llorar así al cielo. Empero ¿Por qué esta visita repentina? ¿Acaso los espíritus de ti se rieron? ¿O te has aburrido de tus amigos fantasmas y vienes a lastimar mi inexistente conciencia?
20/11/2005.
Fefo (REUS).
viernes, 27 de agosto de 2010
viernes, 20 de agosto de 2010
Sombras
El escalofrío perpetuo,
El entumecimiento de mis labios,
La parálisis de mi corazón, me doy cuenta de que
Hace un segundo morí
Lo que pensé que estaría claro, ahora esta más desordenado.
Entiendo que estoy muerto, estoy envenenado,
estaba envenenado, fuí envenenado.
Tal vez algún día sabré quién lo hizo.
Hace un segundo morí,
No tengo reloj en mi bolsillo, tampoco en mi muñeca,
Ignoro al tiempo, sólo sé que desde hace un segundo estoy muerto.
No puedo moverme, no puedo sentir, sólo ver,
¿Qué veo?
Veo mi cuerpo inmóvil, mi orígen, inmóvil como mi imágen.
Eternos gemelos que nunca se conocieron, se imitaron y ambos murieron.
¡No! ¡Yo no estoy muerto!
Ahora despierto, es él quien ha muerto y
Ahora nuestro insoslayable vínculo,
Me convierte en prisionero de su muerte.
Esperaré que el tiempo corra, que este segundo muera.
Bajo el sol,
Para mí no habrá descanso,
No hubo descanso,
Fuí poderoso,
Esperaré al sol.
Bajo la luna mi debilidad me visitará, siempre lo hacía,
Aun así, esperaré su belleza.
Bajo millones de estrellas, en luna nueva,
Me sentiré,
Me sentí alejado del mundo,
Imperceptible, casi muerto,
Será mi momento de páz, lo anhelaré.
¡AHORA QUE MI ORÍGEN HA MUERTO MI CASTIGO SERÁ ETERNO!
14 – 01 – 2010.
Rafael Urdaneta.
El entumecimiento de mis labios,
La parálisis de mi corazón, me doy cuenta de que
Hace un segundo morí
Lo que pensé que estaría claro, ahora esta más desordenado.
Entiendo que estoy muerto, estoy envenenado,
estaba envenenado, fuí envenenado.
Tal vez algún día sabré quién lo hizo.
Hace un segundo morí,
No tengo reloj en mi bolsillo, tampoco en mi muñeca,
Ignoro al tiempo, sólo sé que desde hace un segundo estoy muerto.
No puedo moverme, no puedo sentir, sólo ver,
¿Qué veo?
Veo mi cuerpo inmóvil, mi orígen, inmóvil como mi imágen.
Eternos gemelos que nunca se conocieron, se imitaron y ambos murieron.
¡No! ¡Yo no estoy muerto!
Ahora despierto, es él quien ha muerto y
Ahora nuestro insoslayable vínculo,
Me convierte en prisionero de su muerte.
Esperaré que el tiempo corra, que este segundo muera.
Bajo el sol,
Para mí no habrá descanso,
No hubo descanso,
Fuí poderoso,
Esperaré al sol.
Bajo la luna mi debilidad me visitará, siempre lo hacía,
Aun así, esperaré su belleza.
Bajo millones de estrellas, en luna nueva,
Me sentiré,
Me sentí alejado del mundo,
Imperceptible, casi muerto,
Será mi momento de páz, lo anhelaré.
¡AHORA QUE MI ORÍGEN HA MUERTO MI CASTIGO SERÁ ETERNO!
14 – 01 – 2010.
Rafael Urdaneta.
sábado, 14 de agosto de 2010
Camiscucio
Il s’est levé dans le matin, ce peintre en déclin, son apparence nous a dit que les années passent vite dans sa vie, trente-neuf ans sur leurs paupières ont détruit son regard tendre et plein d'espoir. Le regard d'un homme avec ses rêves dans la paume de la main. Or, cet homme, après avoir complètement ignoré sa jeunesse, ne sourit pas au réveil. Il était le dernier membre d'une famille d'artistes dans toutes les teintes et les formes d'art, des artistes dont le travail ne pouvait être comparé qu’avec la vertu de ses créateurs. Loin du monde, notre peintre a passé de longues nuits d'observation aux environs de la forêt, en oubliant dont il a été. La recherche d'un trésor familial dont l'existence douteuse accéléré le processus brisé sa santé mentale. Ses tableaux, parfois perçues par le fantôme de son mentor, son mentor ectoplasmique, son père ; suscitent un grand intérêt dans les lucioles qui dorment maintenant dans son bureau. Autre journée qui s'est passé dans la vie solitaire du peintre, un matin plus qu’il est perçue en passant par les yeux ...
… C'est la nuit, une nuit sanglante, sans lune, sans quelqu'un pour être n'importe qui, seulement des vedettes, des milliers. Les lucioles, ce soir dominent une peinture cachée, regardent toujours et se demandent :
- Comment est la vie solitaire de notre artiste médiocre, maintenant?
En écoutant cela notre peintre les en prie silence, et réplique :
- Si j’ai seulement ces lucioles, mon solitude sera éternelle. Ne gardent pas l'héritage de ma famille, permettez-moi de le sentir, je trouve que je suis meilleur que mes ancêtres.
Je veux savoir si je suis le meilleur, mieux que lui. Ses compagnons se mirent à briller comme un signe de mépris et obligent le peintre à laisser son bureau.
Dehors, un faux sourire de l'ironie illumine le visage de notre peintre – Qui je suis? Serais meilleur que toi, père? Ces paroles ont été le seul bruit émis dans la forêt. Un nouveau sourire apparaît, cette fois dans le visage d'un vieillard, sa silhouette se détache dans le brouillard, comme des lucioles dans le noir.
- Tant d'années de peintures à l'huile, l'aquarelle vous avez causé des hallucinations, maintenant mon quartier, je suis l'un d'entre eux - Sa voix couvre soudain les oreilles de notre peintre et débarrassa l'air de légèreté. Tout flotte dans la forêt et dans son esprit, tout sauf le puant être réminiscent.
Dans un état indéfini l'ectoplasmique étant remue son sein avec un rire maniaque, réduites au silence par la haine, respirent profondément et retournent à rire.
- Pour quoi maudire ton arrogance, si vous conscience n'est pas la cause de votre misère? - Le rire s'arrête et commence à pleurer - Pourquoi voulez-vous ma gloire? Où va votre vertu, votre dignité, votre amour? - Et comme une pluie de plomb, l'air retrouve son poids et tout tombe brusquement. Le galéré de ses illusions ne pouvait pas flotter plus sur cette réalité variante. Notre peintre meurt en laissant caché son talent.
… C'est la nuit, une nuit sanglante, sans lune, sans quelqu'un pour être n'importe qui, seulement des vedettes, des milliers. Les lucioles, ce soir dominent une peinture cachée, regardent toujours et se demandent :
- Comment est la vie solitaire de notre artiste médiocre, maintenant?
En écoutant cela notre peintre les en prie silence, et réplique :
- Si j’ai seulement ces lucioles, mon solitude sera éternelle. Ne gardent pas l'héritage de ma famille, permettez-moi de le sentir, je trouve que je suis meilleur que mes ancêtres.
Je veux savoir si je suis le meilleur, mieux que lui. Ses compagnons se mirent à briller comme un signe de mépris et obligent le peintre à laisser son bureau.
Dehors, un faux sourire de l'ironie illumine le visage de notre peintre – Qui je suis? Serais meilleur que toi, père? Ces paroles ont été le seul bruit émis dans la forêt. Un nouveau sourire apparaît, cette fois dans le visage d'un vieillard, sa silhouette se détache dans le brouillard, comme des lucioles dans le noir.
- Tant d'années de peintures à l'huile, l'aquarelle vous avez causé des hallucinations, maintenant mon quartier, je suis l'un d'entre eux - Sa voix couvre soudain les oreilles de notre peintre et débarrassa l'air de légèreté. Tout flotte dans la forêt et dans son esprit, tout sauf le puant être réminiscent.
Dans un état indéfini l'ectoplasmique étant remue son sein avec un rire maniaque, réduites au silence par la haine, respirent profondément et retournent à rire.
- Pour quoi maudire ton arrogance, si vous conscience n'est pas la cause de votre misère? - Le rire s'arrête et commence à pleurer - Pourquoi voulez-vous ma gloire? Où va votre vertu, votre dignité, votre amour? - Et comme une pluie de plomb, l'air retrouve son poids et tout tombe brusquement. Le galéré de ses illusions ne pouvait pas flotter plus sur cette réalité variante. Notre peintre meurt en laissant caché son talent.
domingo, 8 de agosto de 2010
Primera y segunda noche maldita. Bienvenidos mis nocturnos...
Primera noche (11/10/2009 – 4:39am)
Otro día más que no duermo, otro día más de pensamientos hipnóticos que se apoderan de mí y me obligan a escribir. Entre el vicio y los recuerdos mi musa se muestra reminiscente. Despierten todos y háganme compañía desde hoy y para siempre. Maldito Macondo que me desvela y engaña a mi cuerpo para que se sienta asqueado de sí mismo. Debe ser este olor nauseabundo de ébrio malestar el que atrae a estos pesares inspiradores. Ya no lo hago por mí, mis amigos, ahora escribo por y para ustedes. Empero no porque los ame, sino porque aún quiero demostrarles que soy nada sin ustedes y que mi colosal ego es menester para todos. Este Pequeño Erizo no va a cambiar sin su ayuda. Este Pequeño Erizo no sabe que quiere cambiar.
Segunda noche (17/10/2009 – 12:47am)
Presente en mis sueños y mi realidad de erizo, un vahaje de arrogancia despierta en mí una piedad quimérica. ¿Será qué mi espinoso ego me necesita tanto que ahora es hipócrita conmigo para que mi magnanimidad le arrope? ¿Será por eso que mi superioridad me exige ahora ser piadoso con quien fui injusto? ¿Por qué ya no me consuela el sufrimiento ajeno? Regodearme en la crapulencia de mis actos hirientes no voluntarios ya no me causa carcajadas. El sonido de mi risa y la mueca en mi cara ya no se besan en el suave aire de mi embriaguez. Has cambiado sin quererlo, he cambiado y ahora despierto. El escaso Macondo que reside en esta botella no es suficiente para causar daño alguno a la asquerosa moral que de la nada interrumpe mis soliloquios. Mi reminiscente musa aun no desaparece por completo. Amigos míos, este Pequeño Erizo no sabe que quiere cambiar. ¿Qué debe hacer entonces para descubrirlo? ¿Quiénes son ustedes para informarme? ¿Seré felíz al convertirme en un víl y descarado ser que no distingue entre sí mismo y sus, muy diferentes, “semejantes”? ¿Debo abandonar la sinceridad para transformarme en uno de ustedes? ¡Maldita moral! Afrentas mi virtud con tus delgados dedos carentes de carne y alma, ensucias con tus caprichos los míos, me obligas a convertirme en tí. Yo soy menester en este tu mundo hipócrita, yo soy quien te da equilibrio. Empero, no me das otra opción, que tu ley sea la mía y por ser mía será perfecta ¡Y lo hago solo para demostrar tu ineptitud! Verás que seré un hijo perfecto a tus ojos, seré la verdadera cara de tu ley absurda. Hoy el Erizo es un hipócrita más en este mundo, hoy el Erizo es dios, hoy el Erizo es contradicción, hoy el Erizo es consciencia, hoy el Erizo no extrañó a su musa, hoy el Erizo no bebió lo suficiente, esta noche el Erizo expiara a voluntad sus pesares inspiratorios. El domingo el Erizo despertará asqueado por sus actos morales y volverá a ser el mismo vilipendiador que cree que ama ser.
Otro día más que no duermo, otro día más de pensamientos hipnóticos que se apoderan de mí y me obligan a escribir. Entre el vicio y los recuerdos mi musa se muestra reminiscente. Despierten todos y háganme compañía desde hoy y para siempre. Maldito Macondo que me desvela y engaña a mi cuerpo para que se sienta asqueado de sí mismo. Debe ser este olor nauseabundo de ébrio malestar el que atrae a estos pesares inspiradores. Ya no lo hago por mí, mis amigos, ahora escribo por y para ustedes. Empero no porque los ame, sino porque aún quiero demostrarles que soy nada sin ustedes y que mi colosal ego es menester para todos. Este Pequeño Erizo no va a cambiar sin su ayuda. Este Pequeño Erizo no sabe que quiere cambiar.
Segunda noche (17/10/2009 – 12:47am)
Presente en mis sueños y mi realidad de erizo, un vahaje de arrogancia despierta en mí una piedad quimérica. ¿Será qué mi espinoso ego me necesita tanto que ahora es hipócrita conmigo para que mi magnanimidad le arrope? ¿Será por eso que mi superioridad me exige ahora ser piadoso con quien fui injusto? ¿Por qué ya no me consuela el sufrimiento ajeno? Regodearme en la crapulencia de mis actos hirientes no voluntarios ya no me causa carcajadas. El sonido de mi risa y la mueca en mi cara ya no se besan en el suave aire de mi embriaguez. Has cambiado sin quererlo, he cambiado y ahora despierto. El escaso Macondo que reside en esta botella no es suficiente para causar daño alguno a la asquerosa moral que de la nada interrumpe mis soliloquios. Mi reminiscente musa aun no desaparece por completo. Amigos míos, este Pequeño Erizo no sabe que quiere cambiar. ¿Qué debe hacer entonces para descubrirlo? ¿Quiénes son ustedes para informarme? ¿Seré felíz al convertirme en un víl y descarado ser que no distingue entre sí mismo y sus, muy diferentes, “semejantes”? ¿Debo abandonar la sinceridad para transformarme en uno de ustedes? ¡Maldita moral! Afrentas mi virtud con tus delgados dedos carentes de carne y alma, ensucias con tus caprichos los míos, me obligas a convertirme en tí. Yo soy menester en este tu mundo hipócrita, yo soy quien te da equilibrio. Empero, no me das otra opción, que tu ley sea la mía y por ser mía será perfecta ¡Y lo hago solo para demostrar tu ineptitud! Verás que seré un hijo perfecto a tus ojos, seré la verdadera cara de tu ley absurda. Hoy el Erizo es un hipócrita más en este mundo, hoy el Erizo es dios, hoy el Erizo es contradicción, hoy el Erizo es consciencia, hoy el Erizo no extrañó a su musa, hoy el Erizo no bebió lo suficiente, esta noche el Erizo expiara a voluntad sus pesares inspiratorios. El domingo el Erizo despertará asqueado por sus actos morales y volverá a ser el mismo vilipendiador que cree que ama ser.
jueves, 5 de agosto de 2010
Don't worry! Everything is going to be fine... I hope so.
You will able to be enjoy Fefo's Noches malditas... Soon...
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